NOUVEAU : en 2024, notre site commence à développer un parcours thématique sur les liens sylviculture / aménagement.  Ce parcours s'étoffera au fur et à mesure.

 

Identifier des outils pour...

Connaître son territoire et ses enjeux

Qu'il s'agisse de préserver le foncier à enjeux, de permettre les installations nécessaires aux activités sylvicoles ou d'entreprendre d'autres actions en faveur de la sylviculture, l'essentiel de ces actions s'appuie sur un diagnostic préalable afin de connaître l'état, l'évolution et les enjeux du territoire en matière d'activités sylvicoles. De nombreux outils sont mobilisables pour élaborer, compléter ou actualiser ce diagnostic, notamment pour suivre l'évolution du foncier nécessaire à ces activités.

Définir et contextualiser sa stratégie pour la forêt et le bois

Toute collectivité territoriale qui le souhaite peut se fixer une stratégie sur la forêt et le bois et prévoir des actions (dans la limite de son champ de compétence et dans le respect de celui des autres). Dans les faits, toutefois, aucune stratégie territoriale n'est déconnectée de ce qui se passe au-delà de son périmètre et de son échelle. Faire le lien avec les stratégies des périmètres limitrophes aide à anticiper les effets de bords. De même, faire le lien avec les orientations prévues à d'autres échelles contribue à replacer les actions locales dans un contexte plus large : cela aide à voir en quoi ces actions peuvent concourir à la stratégie globale sur la sylviculture.

S'adosser à la planification urbaine et stratégique

Les documents de planification urbaine ou multi-thématiques, notamment les documents d'urbanisme, disposent de leviers pour soutenir la sylviculture. Il peut aussi s'agir de mobiliser des documents pouvant tenir lieu de document d'urbanisme (charte de PNR valant SCoT...). 

Favoriser l'intégration des enjeux sylvicoles dans l'aménagement

A l'échelle de l'aménagement du territoire (documents d'urbanisme...) ou de l'aménagement opérationnel (constructions, travaux...), certains outils favorisent l'intégration des enjeux sylvicoles dès l'amont des projets. Il s'agit notamment de règles et d'objectifs généraux de l'urbanisme, d'approches intégrées de l'environnement, de contrats de transition, d'aides financières... Il peut aussi s'agir de s'appuyer sur des réseaux de l'aménagement et de l'urbanisme (pour des retours expériences sur l'intégration des espaces forestiers dans l'aménagement).

Préserver certaines forêts à enjeux

Outre les outils de préservation des espaces forestiers à enjeux pour la biodiversité, le patrimoine ou le paysage, certains outils de protection vise plus spécifiquement à préserver, maintenir ou renouveler, voire restaurer, des forêts et boisement en tant que tels.

Prévenir et gérer spécifiquement les risques d'incendies

L'activité sylvicole est impactée par les risques de feux de forêts, ces risques étant eux-même accentués par le changement climatique. La mobilisation des outils de prévention de ces risques contribue ainsi à éviter ou à réduire ces impacts pour la sylviculture. 

Suivre et évaluer la mise en oeuvre des actions

En complément du suivi de l'état et de l'évolution de l'agriculture, suivre et évaluer la mise en oeuvre des actions retenues aide à mesurer l'efficacité de ces actions sur l'agriculture, à identifier plus facilement ce qui marche et à repérer, le cas échéant, des pistes d'amélioration ou des effets à corriger. Ce processus s'appuie essentiellement sur des indicateurs, des observatoires et des bilans périodiques.

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